Dans la même année 1674, Jean Sambix, libraire de Cologne, fit paraître un nouveau Malade imaginaire. […] Il paraît que, cette fois, Molière ne reçut point d’ordre du roi, et que ce fut de son propre mouvement qu’il fit Le Malade imaginaire. […] Il y a deux sortes de malades imaginaires. […] Les malades imaginaires de cette espèce appartiennent à la médecine, qui doit employer, pour leur traitement, un mélange de remèdes physiques et moraux. […] Est-ce Molière qui l’a transporté lui-même dans Le Malade imaginaire ?