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114. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

Telle est, par exemple, l’idée de la scène du Malade imaginaire, où l’on met l’amour de la femme à l’épreuve, en supposant la mort du mari. […] Il ne faut pas perdre de vue que Les Fourberies de Scapin sont une des dernières productions de Molière ; cette pièce et d’autres qu’il a composées vers la fin de sa vie, telles que Monsieur de Pourceaugnac, La Comtesse d’Escarbagnas et même Le Malade imaginaire prouvent suffisamment qu’il avançait en âge, sans que son talent acquît la maturité qui lui aurait fait rejeter des ouvrages aussi peu soignés.

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