Je n’ai pas besoin de rappeler que Shakespeare fut l’objet d’études spéciales de la part de Stendhal et que le nom de l’illustre poète se retrouve sans cesse sous la plume de notre auteur qui faisait toutefois des erreurs : ainsi p. 107 de notre volume il parle de Lothario (une faute d’impression en fait Lotharic dans le Merchant of Venice qui ne s’y trouve pas, mais bien Antonio.