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142. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Cette troupe, qui prit le nom de l’Illustre théâtre, joua d’abord par divertissement; puis, encouragée par le succès, elle joua par spéculation. […] Le christianisme, en effet, malgré les vertus et le génie de quelques prélats illustres, se présentait sous plus d’un rapport, comme l’ennemi de l’humanité.

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