Elles sont assez piquantes, les circonstances qui amenèrent Weiss à exposer ses idées sur Molière. […] Ils aimaient qu’on répandît, qu’on éparpillât leurs idées, leurs types. […] Mais quand l’idée de la mort s’est mise quelque part, en revanche elle n’en déloge plus ; que cette idée provienne d’un mal réel ou d’un mal imaginaire, ses effets sont absolument les mêmes sur les hommes. […] Molière conçut l’idée, la première idée de se moquer d’un directeur de conscience ; il n’alla pas au-delà. […] Pour lui, ce sera une énigme impossible, et il n’y comprendra rien du tout, avec ses idées de l’an 500 avant Jésus-Christ.