Il n’y a donc rien à dire de cette pièce ni- au point de vue des idées, ni au point de vue de l’intrigue, puisqu’il n’y a ni intrigue ni idées. […] Voilà l’idée de l’ouvrage, voilà la thèse et voilà la moralité de la pièce. […] L’idée de Diderot n’est donc point une nouveauté. […] Et il y a de la vérité dans cette idée. […] Il a cette intelligence impersonnelle qui consiste à n’avoir pas d’idées, mais à avoir sûrement, avec une justesse de coup d’œil absolue, les idées de tout le monde, les idées où la pluralité, au moins, se range ou va se ranger.