En mon âme et conscience, ayant étudié le personnage, je ne trouvais pas qu’il répondit à l’idée que l’on se doit faire d’un homme de bien. […] Cela déconcertait l’idée qu’il se faisait du philosophe. […] Celte belle idée semble un produit naturel des feuilletons, où elle reparaît souvent ; elle a cependant été mise en circulation par Voltaire. […] Je vous en donnerai une idée dont vous ne pourrez tirer d’autre conséquence que de le délester et de vous en préserver. […] Je ne veux de lui qu’une chose et je le tiens quitte du reste : sachons seulement quelle idée il se fait d’un homme de bien ; voyons si cette idée est juste, franche, élevée, correspondante au modèle que d’autres qui ont droit et qualité pour cela sans contestation possible, nous en ont tracé.