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16. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Il est rempli d’idées neuves ou qui m’ont paru telles. […] Il est possédé de l’idée fixe. […] Jamais cette idée n’était venue à personne. […] l’idée, cette fois, parle aux yeux ! […] Tant qu’on n’a pas trouvé pour une idée, quelle qu’elle soit, une forme dramatique, cette idée, sachez-le bien, n’existe pas au théâtre.

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