Ses Réflexions critiques sur la poésie et la peinture (1718) fondent l’idée du relativisme esthétique et, dernier écho de la querelle des Anciens et des Modernes, assurent la primauté du sentiment dans l’appréciation des œuvres d’art.
Ses Réflexions critiques sur la poésie et la peinture (1718) fondent l’idée du relativisme esthétique et, dernier écho de la querelle des Anciens et des Modernes, assurent la primauté du sentiment dans l’appréciation des œuvres d’art.