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107. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

C’était la plus fine mouche de coquette dont on puisse se faire une idée. […] Il n’est pas douteux, du moins, que Molière s’ouvrit à lui de son idée, et que même il lui fit connaître les premiers actes de sa comédie. […] Toute idée dans ces âmes franches et loyales est une conviction, une volonté, enfin une pensée d’action. […] Il avait assez de fureur, pour que l’idée lui en vînt, et assez de puissance pour croire qu’il pourrait réussir. […] L’idée, l’arrangement des scènes, le dénouement n’étaient pas oubliés, et que fallait-il davantage pour en faire le sujet d’un impromptu ?

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