Voilà, je crois, ce que l’Auteur dont nous analysons les idées a voulu dire en nous conseillant de ne pas évoquer les manes burlesques des frippons d’Athenes. […] Croyons-le encore lorsqu’il nous dit dans sa même préface : « Est-il si minces coteries qui ne soient hérissées d’ombrages, de prétentions, & n’affectent de poser les limites d’un art dont ils n’ont pas les premieres idées ?