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144. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

Le premier est composé en l’honneur de Saint-Genest, qui devait bientôt être plus dignement célébré par la tragi-comédie de Rotrou : « Tandis que Genest, sur la scène antique, mêle à la cythare d’or les accents des théâtres d’Orphée, les hommes attentifs semblent de marbre, et toutes les sirènes se taisent comme endormies. […] Tout dans le début était infernal ; tout est divin dans le dénouement. » Le second sonnet est adressé à Saint-Sylvain, autre comédien converti : « Scènes, quittez vos antiques honneurs !

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