En voyant toutes les flatteries, toutes les adulations, ce cortège d’honneur que font les écrivains du grand siècle autour du grand roi, est-ce qu’il ne vaut pas mieux penser pour eux qu’ils ont été des sujets très fidèles et très sincères ? […] Notre honneur est, monsieur, bien sujet à faiblesse, S’il faut qu’on ait besoin qu’on le garde sans cesse. […] Et toujours notre honneur veut se garder lui-même.