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144. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Imaginez-vous donc que sa perruque était si grande qu’elle balayait là place à chaque fois qu’il faisait la révérence, et son chapeau si petit qu’il était aisé de juger que le marquis le portait bien plus souvent dans la main que sur la tête ; son rabat se pouvait appeler un honnête peignoir, et ses canons semblaient n’être faits que pour servir de caches aux enfants qui jouent à cligne-musette.  […] On aurait pu lui indiquer au commencement des Baliververneries d’Eutrapel, par Noël Du Fail, une assez jolie description de ces postures d’un client, pour employer le terme adouci dont Eutrapel fait usage et qui paraît aujourd’hui plus honnête que le mot propre dont Molière s’est servi.

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