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188. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

Cette superstition ne s’est pas même bornée à l’œuvre ; elle s’est insensiblement étendue jusqu’à l’homme. […] Mais lorsque vous peignez des hommes, il faut peindre d’après nature. […] De même, dans les arts plastiques, ce n’est pas un homme unique qui a servi de modèle à l’Apollon du Belvédère ou à l’Hercule Farnèse. […] Tartufe est un autre fragment d’une conception de l’homme et de la vie que le poète essaye de faire partager. […] Quoi de plus naturel à l’homme que de vouloir s’élever au-dessus de ses semblables, si ce n’est de vouloir jouir des plaisirs de la vie ?

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