Qu’on lise Don Juan, ainsi que l’histoire des criminels, dans les journaux judiciaires, et l’on s’apercevra de suite que ces malheureux ne cherchent point à s’étourdir ; l’on verra que, s’ils ne songent point au mal qu’ils commettent, c’est parce que leur conscience, moralement idiote, ne leur reproche rien.