Dans le doute donc où nous conduit notre étude, voyons si, plus heureux d’un autre côté, nous ne pourrons pas clairement découvrir la pensée du poète comique sur Gassendi. […] Plus tard, il passait ses journées, à peine interrompues par quelques visites, à s’égarer au fond de sa retraite sur les traces de cette philosophie qui, disait-il ne se révèle qu’à quelques amis dans le silence et la tranquillité ; heureux de poursuivre avec ses disciples l’ombre de la vérité, qui lui échappait toujours, et dont la poursuite suffisait pour le remplir de joie, — l’ombre, ajoutait-il, « car, pour la vérité, Dieu seul peut la connaître..» […] Heureux si ces deux résultats acceptés par lui peuvent lui être de quelque utilité dans la partie de la tâche qu’il lui reste à accomplir.