/ 153
129. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

Quant à Oronte, il nous représente le travers le plus commun de cette époque, où tout cercle avait son poëte : « L’habit d’Oronte, ce bel esprit de cour, moins modeste encore qu’un poëte de profession, qui a toute la rancune de l’orgueil blessé et toute la lâcheté de la sottise, allait à la taille d’une foule de grands seigneurs31 » Les Clitandres et les Acastes, ces fringants de l’OEil-de-Boeuf, fourmillaient : à l’orchestre, dans les coulisses, dans les ruelles, dans les salons, partout on les voyait papillonner.

/ 153