Il ne méritait ni le surnom de contemplateur, ni celui de héros de la tristesse. […] C’est elle qui a fait les grands hommes de tous les siècles, à partir de ceux dont l’œuvre bienfaisante est oubliée depuis longtemps, jusqu’à ces héros, ces saints, dont notre race a écrit les noms immortels, non dans ses livres, mais dans son cœur.