La première, en effet, l’âme, distincte du corps, et si supérieure au corps qu’elle ne semble plus guère s’apercevoir de ses rapports avec lui, a le malheur de n’être plus soutenue que par Armande.
La première, en effet, l’âme, distincte du corps, et si supérieure au corps qu’elle ne semble plus guère s’apercevoir de ses rapports avec lui, a le malheur de n’être plus soutenue que par Armande.