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64. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

Célimène devient le supplice d’Alceste ; elle ne souffre pas, elle ; Célimène est sensible comme toute jolie femme qui pleure la mort d’un serin, et qui ne s’émeut guère alors qu’elle brise une à une toutes les illusions dont elle fascina un homme de bien. — Mais du moins elle sera punie ?

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