/ 109
37. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Mais ce n’est guère sur cela que l’attention du spectateur est attirée. […] Or il n’y a guère de critérium plus néfaste que ce criterium-là. […] Je ne vois guère. […] On me dira que par elle-même la comédie ne s’y prête guère. […] De même Philinte, qui estime et qui aime infiniment Alceste, ne houspille guère que lui pour le corriger de ses défauts.

/ 109