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17. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

il n’y réussirait guère. […] Peu de spectateurs sont capables de cette contention d’esprit : on ne rit guère par réflexion au spectacle. […] Au fond, il n’importe guère. […] Ce moyen, il l’a trouvé, car il ne songe guère à autre chose. […] Elle a eu souvent raison des résistances de son maître qu’elle connaît bien, et qu’elle ne craint guère.

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