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15. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

ma foi, si se rompt (Cicéron), si se casse, ou si se brise, je ne m’en mets guère en peine ; mais tu m’écouteras, ou je te vais casser ton museau doctoral. […] Les deux époux ne se voyaient plus guères qu’au théâtre. […] S’il ne se rapproche guère dans ce travail du genre du Misanthrope, c’est qu’on ne représente pas un satyre comme un Hercule, et qu’il a suivi les lois de son art. […] Nos poètes, mieux rétribués de leurs œuvres, se font remarquer par leur tenue élégante et recherchée ; ils ne sont guère exposés à de compatissantes mais cruelles observations de la part des chaussetiers. […] La poésie n’est pas le côté fort de Dancourt, et ses pièces en vers, ainsi que ses poèmes lyriques, ne valent guère la peine d’être lus.

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