Mais un esprit sublime, en vain veut s’élever À ce degré parfait qu’il tâche de trouver : Et toujours mécontent de ce qu’il vient de faire : Il plaît à tout le monde, et ne saurait se plaire ; Toi donc qui vois les maux où ma Muse s’abîme, De grâce, enseigne-moi l’art de trouver la Rime : Ou, puisqu’enfin tes soins y seraient superflus, Molière, enseigne-moi l’Art de ne rimer plus.