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17. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

La grâce et la beauté, la grâce surtout, exerçaient sur lui un attrait irrésistible. […] que de grâce, que d’esprit, que de légèreté! […] Tous les traits heureux en sont relevés par une grâce naturelle et une libre aisance. […] Ni la rusticité, ni la pédanterie, ne trouvèrent grâce devant lui. […] Passe encore pour les maîtres filous; mais que l’on nous fasse grâce des apprentis.

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