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130. (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834

Puisque le ciel nous fait la grâce que depuis tant de siècles on demeure infatué de nous, ne désabusons point les hommes avec nos cabales extravagantes et profitons de leurs sottises le plus doucement que nous pourrons.

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