Elle n’est point de mon goût. […] Au lieu qu’il faut suer à présent sur les diminutifs de caractères, dont le comique est imperceptible au goût d’à présent ; sur tout au goût usé, qui n’est plus piqué que par des plaisanteries au gros sel, au poivre et au vinaigre. […] Si l’on donne dans son goût : « Bon ! […] Nous disons encore, tous les jours, d’une personne mise sans goût, qu’elle est mal fagotée. […] Les succès de Corneille n’avaient fait d’ailleurs que développeur ce goût parmi la jeune population rouennaise.