Isabelle, fille de Don Pedre, voit à la Cour le Duc Octave, en devient éprise, & lui inspire en même temps le goût le plus vif. […] Il n’a fait que très peu de changements à la piece de Moliere ; mais il les a faits en homme adroit, en homme qui connoît le goût du peuple, celui du grand monde, & qui sait prendre un milieu pour ménager les deux partis. […] Il est question ici des gens de goût, & non de la populace, qu’un Auteur ne doit jamais avoir en vue lorsqu’il travaille.