« On voit pourtant tous les jours avec plaisir, me dira-t-on, les Fâcheux, le Mariage forcé, le Sicilien ou l’Amour Peintre, M. de Pourceaugnac, le Bourgeois gentilhomme, la Comtesse d’Escarbagnas, le Malade imaginaire, qui sont autant de comédies-ballets jouées à la Cour avant d’être représentées à Paris ».