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123. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265

  Et puis, d’une autre part, toujours pour faire rire, il a forcé le cœur à être indulgent pour des gens méprisables, à s’intéresser au succès de ruses honteuses ; il a mis les grâces et l’esprit dans des personnes indignes ; il a chanté des refrains bachiques et des couplets licencieux ; il a fait des plaisanteries grivoises ; il a ri du crime d’adultère comme d’une chose fort comique ; il a tourné en ridicule, avec une verve inépuisable, l’autorité paternelle. […] — Mais Molière peut sur plus d’un point, et par plus d’une comédie, inspirer des sentiments immoraux, au point que son théâtre ne soit plus, pour beaucoup de gens, une distraction, mais une corruption. […]   Il faut citer, pour les gens qui n’auraient pas le courage de parcourir le Théâtre de Boursault, quelques-unes de ces sales plaisanteries :   En quel lien couche-t-elle ?

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