/ 147
17. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Ce n’est guère le fait d’une jeune fille qui sait si bien congédier les galants. […] Au retour d’Arnolphe, la simple Agnès est amoureuse ; ses honnêtes gardiens ont reçu de l’argent du galant. […] Les galants flattent son penchant à la malice, pour lui plaire ; elle reçoit les flatteries et elle se moque des flatteurs. […] Célimène est charmante ; elle est veuve, elle est jeune : il est tout simple que les galants y abondent. […] Les galants emportent l’attache de ridicule que Célimène leur a mise au dos.

/ 147