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14. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Comme ces fils de famille sont vifs, galants, bien tournés ! […] Le côté plaisant de ces galantes assemblées est merveilleusement saisi. […] Léonor ne prête pas l’oreille aux discours des galants, mais elle peut s’y habituer. […] Coquettes, galantes, dépensières, glorieuses, telles sont les héroïnes de Dancourt. […] Les coquettes divisaient leurs amans en galants d’été et galants d’hiver; mais, malgré cette sage précaution, elles s’ennuyaient mortellement pendant la première saison.

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