Le Clitandre de George Dandin est un galant adultère, et le Dorante du Bourgeois gentilhomme est un aimable escroc : ils ne tirent pas leurs vices de leur qualité ; ils n’empruntent d’elle que les formes élégantes dont ils savent les revêtir. […] « S’il avait eu le temps d’être malade, dit-il, il ne saurait pas mort sans médecin… Molière, ce même Molière, pendant une oppression, s’est fait saigner jusques à quatre fois pour un jour. » Mercure galant, t. […] Il semblait qu’il eût plusieurs voix ; tout parlait en loi ; et, d’un pas, d’un sourire, d’un clin d’œil, d’un remuement de tête, il faisait plus concevoir de choses, que le plus grand parleur n’aurait pu en dire en une heure. »(Mercure galant, t.