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115. (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316

» Quant à Célimène, les commentateurs de Boileau y ont vu le portrait d’une femme très-connue à la cour, la même que le satirique, vingt-huit mis après, stigmatisait dans ses vers : «  Nous la verrons hanter les plus honteux brelans, Donner chez la Cornu rendez-vous aux galants. » Mais, Dieu merci, cet ignoble signalement ne va pas à la taille de Célimène, malgré ses airs d’indépendance un peu compromettants.

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