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3. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Doit-on croire qu’à cet âge des hommes comme ceux-là ne fussent point en possession de leur génie ? […] Voilà à quoi se réduit, après tout, cette protection si vantée : Louis XIV n’a pas étouffé le génie de Molière ! […] La langue a suivi, comme toujours, les destinées du génie littéraire. […] Le génie littéraire n’a-t-il pas suivi les mêmes phases sous le règne de Louis XIV ? […] On ne donne pas des ailes au génie ; mais on peut les lui couper.

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