Je ne connais pas d’ailleurs d’étalon qui permette de mesurer les grands génies et de comparer leurs tailles. […] Ce clair et lumineux génie de Molière n’a pas de ces profondeurs mystérieuses ni de ces secrets insondables. […] Le vrai texte de Cousin, notablement altéré par M. du Boulan dans l’épigraphe de son livre, est celui-ci : « Molière n’a dit son secret à personne, et vraisemblablement il n’y a point ici de secret, excepté celui du génie.