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103. (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258

L’architrave, très-ornée, est surmontée du fronton circulaire au centre duquel, parmi des mascarons, des fleurs, des fruits, est assis un génie qui tient des couronnes. […] Pour nous, ce n’est pas là l’homme triste et grave qui avait sondé tous les replis du cœur humain, qui avait percé de son regard tous les voiles sous lesquels se cachent les vices et les ridicules, puis était venu dire sur la scène avec toute la hardiesse du génie ce qu’il savait de la société humaine, et stygmatiser à jamais par le ridicule les misères et les perversités du cœur et de l’esprit.

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