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119. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Voilà, du reste, le seul emprunt que l’auteur se soit permis dans ce chef-d’œuvre qui lui appartient ainsi qu’aux mœurs françaises. […] Un jeune seigneur français est amoureux aussi de la charmante esclave, fille raisonneuse et difficile à garder. […] On ne se lassera jamais d’admirer le Tartufe, cet honneur impérissable de la scène française. […] Si Molière est le Dieu de la nouvelle société française, cela peut s’expliquer en deux mots. […] Le buste de Molière est, sans contredit, par son expression et par le fini de son exécution, un des plus beaux monuments de la sculpture française.

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