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116. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174

Il a encore employé ce mol dans une petite préface qu’il lit en 1670, au-devant des œuvres posthumes de Gilles Boileau son fière, de l’Académie française. « La traduction du quatrième livre de l’Énéide », dit-il, « a déjà charmé une partie de la cour, par la lecture que l’auteur, de son vivant, a été comme forcé d’en faire en plusieurs réduits célèbres. […] Leclerc, de l’académie française), elles se mirent à dire qu’il fallait faire une nouvelle orthographe, afin que les femmes pussent écrire aussi assurément et aussi correctement que les hommes. […] Les changements opérés dans la langue française durant la période des précieuses ne sont pas le premier exemple qu’on puisse citer du pouvoir de la conversation. […] Il nous en reste un monument irrécusable dans Les Dialogues concernant le nouveau langage français italianisé et autrement déguisé, principalement entre les principaux courtisans de ce temps : de plusieurs nouveautés {dans les usages) qui ont accompagné cette nouveauté de langage : de quelques courtisanismes modernes et de quelques singularités courtisanesques.

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