Elle passa neuf années avec lui, dans une liaison qu’elle ne regardait pas comme un mariage ; depuis la mort de Scarron, elle écrivit à son frère : « Je n’ai jamais été mariée : dans mon union avec Scarron le cœur entrait pour peu de chose, et le corps, en vérité, pour rien77. »Et Scarron, avant de l’épouser, disait à ses amis : Je lui apprendrai bien des sottises, mais je ne lui en ferai point. […] En 1706, madame de Maintenon écrivait à son frère, lettre CXVI de l’édition de Nancy : « Je n’ai pu voir sans plaisir une généalogie de 400 ans très bien prouvée par des contrats de mariage.