Quelle différence avec ces ouvrages dans lesquels une seule idée bien répétée, bien tournée et retournée, sert non seulement à filer cinq actes, mais nous en fournit encore quinze ou vingt autres sous divers titres ! […] Les Adelphes de Térence ont fourni à notre auteur deux de ses principaux caractères. […] C’est Arlequin, faux brave qui a fourni la première idée de cette comédie. […] Je ne cacherai aucune de celles où Molière a puisé, mais il en est une surtout qui, ayant fourni à notre auteur l’idée primitive de sa pièce, doit être examinée de plus près et plus scrupuleusement. […] Il est clair que la première nouvelle a fourni à Molière l’intrigue et les situations les plus piquantes de sa pièce ; mais je ne crois pas ses larcins également heureux.