/ 170
167. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

J’avoue que je trouve que cette définition du Rire adoptée et défendue par Stendhal fournit à l’essai un point de départ absolument faux. […] Quant à l’Avare de Molière, c’est un caractère bien peint, mais comme on ne le montre point se trompant, dans sa passion, le comique glisse sur lui, et les positions comiques où Molière le montre ne s’élèvent pas au-dessus de la plaisanterie, ne produisent que de la plaisanterie. au lieu de fournir du comique78.

/ 170