Tous ces galants de cour, dont les femmes sont folles, Sont bruyants dans leurs faits et vains dans leurs paroles ; De leurs progrès sans cesse on les voit se targuer ; Ils n’ont point de faveur qu’ils n’aillent divulguer ; Et leur langue indiscrète, en qui l’on se confie, Déshonore l’autel où leur cœur sacrifie...