La malle de Molière a disparu, je vous l’ai dit, comme celle de plus d’un autre, comme celle de ce fou de Cyrano, son condisciple en Gassendi, un vert et original penseur, dont l’Histoire comique renferme des pages surprenantes de hardiesse. […] Dans le clavier du rire, le ha ha que mérite Alceste, lâchant ses apophtegmes rageurs, n’est pas le ho ho qui convient pour Arnolphe, ce fou, ce fieffé brutal ; ce n’est pas non plus l’espèce de hu hu qui doit poursuivre Tartuffe, mêlé de huée pour le drôle et d’un épanouissement de rate à le voir découvert.