Nous ressemblons assez, à l’heure qu’il est, à un prodigue en état de ruine passagère, prodigue non plus jeune, mais vieilli et qui compte et recompte tristement ce qui lui reste de sa fortune gaspillée. […] Mais là encore ce n’était ni la gloire, ni la fortune. […] Il prospère, il engraisse, il fait fortune. […] Il faisait contre mauvaise fortune bon cœur et répondait avec esprit à ces sottises. […] Ce Baron « l’homme à bonnes fortunes » est celui-là même qui allait réclamer son bonnet chez une grande dame qui semblait le méconnaître après avoir passé la nuit avec lui.