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135. (1802) Études sur Molière pp. -355

Deux courriers de la cour se présentent chez l’affligée, lui demandent si elle ne connait pas un médecin assez habile pour guérir la fille du roi, fort incommodée d’une arête de poisson qui s’est engagée dans son gosier. […] Elmire, après avoir toussé plus fort  ; le triomphe d’Elmire ne redouble-t-il pas ? […] de grâce laissez, je suis fort chatouilleuse. […] Qu’a-t-il donc de si difficile, ce rôle de Cléonte, pour lequel vous vous passionnez si fort ? […] D’un autre côté, Phedria, fils de Chremès, se laisse prendre par les charmes d’une chanteuse trop exactement gardée par un marchand d’esclaves fort intéressé.

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