Cinq ans plus tard, elle est déjà jouée à Paris, sous la forme que lui a donnée un nouveau traducteur, qui n’est autre, selon M. […] Il la poursuit sous toutes les formes qu’elle sait prendre. […] La pièce y est indiquée sous son vrai titre, ce qui prouve que celui de L’Imposteur n’était que pour la forme. […] Cette souplesse des pièces en prose, cette facilité qu’on avait de pouvoir les émailler chaque fois d’un esprit nouveau, ajoutait sans doute, par l’imprévu, au charme de la représentation, mais elle empêchait aussi qu’une comédie de forme si complaisante fut prise au sérieux, comme l’étaient les pièces pour lesquelles la forme inflexible du vers avait été adoptée. […] Tout avait été hardiesse dans ce qu’il avait essayé là, jusqu’à la forme même du vers employé.