L’on trouvera la même chose dans Timocrate, dont les trois premiers actes ne servent que d’acheminement à mettre la reine dans l’obligation de deux serments, qui la forcent de faire épouser sa fille à celui même qu’elle ne se peut dispenser de perdre, etc. […] ” Cela arriva comme je l’avais prédit, et dès cette première représentation, l’on revint du galimatias, et du style forcé. » « [*]Cet aveu (de Ménage) n’est autre chose que le sentiment réfléchi d’un savant détrompé, mais le mot du vieillard, qui du milieu du parterre s’écria par instinct, courage, Molière, voilà la bonne comédie, est la pure expression de la nature, qui montre l’empire de la vérité sur l’esprit humain. » [*].