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139. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Maraudeur sublime, il braconnait dans le domaine de toutes les littératures ; prenant de toute main, volant le riche et dépouillant le pauvre, il imposait à tous le tribut de ses emprunts forcés. […] Si du moins il fût aussitôt parti pour son diocèse, la persécution dont il était l’âme aurait pu se ralentir ; ses partisans, restés sans chef en présence de ceux de Molière, auraient pu être forcés de lâcher prise ; mais il n’était pas homme à quitter une partie ainsi engagée. […] Quoi qu’il pût faire, cependant, il semble que la maladie eut quelquefois le dessus et le força de faiblir par instants. […] Forcé de faire rire, le jour de la mort de son père, eût-il au moins le lendemain permission de l’Église, pour assister à son convoi ? […] Pourquoi forcé ?

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